Assemblée générale du 8 MARS 2015
Rapport du Secrétaire général Pierre FESOLOWICZ
Au cours de l’année 2014 nous avons effectué 41 excursions, dont un
voyage de 4 jours, 3 visites, écouté 3 conférences, participé à une
séance de communications, et une séance de présentations libres. Ce qui
représente au total 52 journées d’activités.
Cette année je vous présenterai le bilan de ces activités selon un
enchaînement des différents objets de l’Histoire Naturelle, depuis les
plus anciens jusqu’aux actuels. Ceci permettra une mise en perspective
chronologique des différentes disciplines. Si nous les scindons souvent
pour des raisons pratiques, elles trouvent en réalité leurs origines
dans une continuité historique qui les ordonne et les structure.
Commençons si vous le voulez bien par les Sciences de la terre. J’ai
pour habitude de penser que dans toute excursion, lorsque ces matières
y trouvent place, les autres disciplines en tirent de façon naturelle
une valeur complémentaire.
Cette année nous n’avons pas eu de contact avec le socle. Par contre
nous avons prospecté, lors de notre voyage d’études de la Pentecôte en
Aunis et Saintonge, sous la direction de Nicole Santarelli et Jean
Pierre Boivin, des terrains d’âge jurassique et crétacé. Trois sites
géologiques ont été visités et nous ont ainsi éclairés sur ces étages
essentiellement calcaires. La falaise du Rocher avec ses Exogyra virgula du Kimméridgien supérieur, le Port des
Barques avec ses curieuses Alectryonia
carinata du Cénomanien
inférieur,
enfin le remarquable récif corallien de la Pointe du Chay daté du Kimméridgien inférieur.
L’excursion de Médard Thiry le 14 septembre, dans le
prestigieux Sancerrois, nous a permis de comprendre la formation du
Conglomérat Eocène de Sancerre,
et d’en apprendre davantage sur les phénomènes de silicification qui
s’y manifestent, dont notre ami s’est fait le mentor. La description et
la dégustation des paysages et du terroir ont conclu cette étude dans
l’enthousiasme.
Dans la Vallée de la Mérantaise le 26 octobre Mme Rigade n’a pas manqué
de nous rappeler les particularités locales de nos chers Sables de Fontainebleau.
Dans des formations plus récentes à Dourdan le 13 avril, Mme Géliot
nous a présenté une
intéressante dune quaternaire de sables soufflés surmontant ceux de
Lozère.
C’est de cette même période géologique que date le Cirque de l’Essonne,
étudié par M. De Guerra et que je vous ai fait parcourir le 19 octobre.
1er septembre à Grez-sur-Loing,
Soulignons le précieux concours de
M. Sagon et ses nombreuses et enrichissantes interventions au cours de
nos excursions, comme par exemple son minutieux examen des Galets de Saclas à Boigneville le
16 novembre.
Je m’appliquerai également à
porter dans ce rapport un regard particulier sur la mycologie. Il me
semble en effet opportun de souligner combien les recherches
d’aujourd’hui montrent le rôle capital des champignons dans leurs
relations avec le reste du monde vivant. Ce rôle désormais mieux connu
se présente comme une des clés pour la compréhension holistique de la
nature.
Les champignons jadis placés dans le Règne végétal sont élevés
aujourd’hui au rang de Règne autonome, distinct du Règne animal depuis
environ 1 milliard d’années. Les Eumycètes,
ou champignons vrais, sont
beaucoup plus récents, soit environ 430 MA. Quant aux objets de nos
récoltes courantes, les macromycètes
à carpophores, ils ne représentent
qu’une faible partie de ce Règne. Leurs rapports avec les végétaux sont
variés : parasites ou agents de leur dégradation, mais surtout dans
nombre de cas, partenaires symbiotiques agents de la conquête des
continents par le monde végétal.
Une des premières excursions de l’année s’est déroulée à Fontainebleau
le 3 mars sous la direction de Jean Pierre Vidonne et Jean Paul
Chabrier. Elle avait pour but de nous montrer les champignons en hiver,
période propice à l’observation des espèces dépourvues de lames.
Le 20 juillet en Forêt de St Arnoult, Alain Lauron a déterminé
Marasmius hederae, Amanita virosa ssp levipes et Gyroporus cyanescens .
Le 31 août en Forêt de Montmorency Jean Paul Chabrier nous a montré
Cortinarius prestens. Nos deux amis en Forêt de Fontainebleau le 30
novembre ont récolté Anthurus archeri, Lentinellus ursinus,
Callistosporium xanthophyllum et Eryopeziza caesia.
Dans cette même région nous avons
été guidés par Jean Pierre Méral à deux reprises. Une première fois en
compagnie de Jean Giraud le 21 septembre dans la Forêt de
Champagne-sur-Seine, où nous avons observé Tyromyces fissilis. Une seconde
fois à Fontainebleau le 2 novembre avec Alain Champagne, dont les
commentaires ont été vivement appréciés et la description des espèces
attentivement suivie. On a noté ce jour-là Helveola latispora, Boletus rhodoxantus, Amanita porphyria, Hericium coralloïdes et trois
cortinaires remarquables : Cortinarius
odoratus, olivaceus et
elegantissimus.
Cependant la mycologie ne se borne
pas aux abondantes récoltes automnales de généreux carpophores. Les
lichens, bien qu’étudiés traditionnellement de façon autonome, sont
bien souvent des Ascomycètes, en symbiose pérenne avec une ou plusieurs
algues. Françoise Guilloux et Gabriel Carlier le 23 mars à Nemours,
nous ont fait admirer les apothécies de nombre d’espèces lichéniques,
parmi lesquelles Hematoma ochroleuca,
Cladonia caespiticia et Cladonia incrassata.
C’est
avec le fil d’Ariane de la diversification des végétaux terrestres que
j’aborderai maintenant la revue de nos observations dans le Règne
végétal.
Les endomycorhyzes sont fréquentes chez les Hépatiques. Cette symbiose
a permis d’apporter des solutions à la difficile adaptation de ces
bryophytes primitives, aux conditions nouvelles imposées au Silurien,
par la colonisation des terres émergées. Ces humbles végétaux que sont
les Bryophytes et qui constituent la strate muscinale sont
d’observation délicate, tant leurs caractères microscopiques sont
difficilement contournables.
Au cours de diverses excursions Michel Arluison, Jean Giraud et
moi-même avons déterminé un certain nombre d’espèces intéressantes de
Bryophytes, comme par exemple le 16 mars en forêt de Fontainebleau où
nous vous avons montré Porella
laevigata, Cephalozia
connivens, Orthotrichum
stramineum, Amphidium
nougeotii, Trichostomum
brachydontium, Distichum
capillaceum et la jolie Bratramia
pomiformis. Le 15 juin au Puiselet, Cynodontium bruntonii, le rare Rhodobryum roseum et une
impressionnante station de Nowellia
curvifolia fructifiée. Nous avons retrouvé cette hépatique le
21 septembre en Forêt de Champagne-sur-Seine avec Solenostoma crenulata. Enfin au
Mont Andart le 13 novembre, une souche hébergeait une station précaire
de Neckera crispa.
Les Ptéridophytes sont caractérisées par la prédominance du sporophyte
et la présence de vaisseaux conducteurs qui le parcourent. Il est
difficile de leur consacrer une excursion entière, c’est au gré de nos
prospections que nous les examinons. Ainsi ont été vus le 18 mai en
Forêt de Rougeau, avec Joëlle Bache et Jean Luc Tasset Ophioglossum vulgatum, et le bel
arbuste Corriaria myrtifolia,
Corriariacée méditerranéenne. A Marly le 9 novembre avec M. et Mme
Pedotti nous avons revu Oreopteris
limbosperma, sans oublier Osmunda
regalis à Montmorency le 31 août avec Jean Paul Chabrier, ou Thelypteris palustris le 24 août
dans la vallée de l’Essonne avec Guillaume Douault. Polystichum bicknellii a été
montré le 12 octobre dans la Vallée du Petit Morin par Françoise Le
Berre et René Le Ruyet, ainsi que le 20 octobre dans la Vallée de la
Mérantaise par Anne Rigade.
Les végétaux vasculaires sont majoritairement ectomycorhizés et c’est
dans le cadre de ces symbioses que la classification des champignons
bifurque. L’étude des phanérogames reste le domaine de prédilection
chez un bon nombre de nos adhérents. En conséquence beaucoup
d’observations ont été faites.
Lors de l’excursion du 6 avril à D’Huison-Longueville MM. Douault et
Tasset donnèrent le départ de l’herborisation en direction des plantes
à fleurs, dans un haut lieu de l’exploration des platières de grès ; Illecebrum verticillatum, Crassula vaillantii, Sedum hirsutum, Spergula morisonii, Micropyrum tenellum y ont été
enregistrés. Ce dynamisme printanier s’est poursuivi le 4 mai dans le
Bois de la Tour du Lay dans lequel MM. Bonnel et Douault ont noté Actea spicata en fleur.
Les pinacles de craie face à la Seine nous offrent de remarquables
stations botaniques. Le 1er juin sous la direction de M. et Mme
Pedotti, nous y avons relevé
Astragalus monspessulanus, Helianthemum
oelandicum subsp. incanum et Stipa
gallica. Ajoutons également Euphorbia
palustris prospérant à proximité de l’Epte.
En Aunis et Saintonge nous avons noté des espèces d’importance
régionales comme Iris spuria,
Euphorbia villosa, Lathyrus pannonicus et Inula salicifolia dans le Bois de
Bernon peuplé d’érables de Montpellier, Serapias lingua, Spiraea hypericifolia, Linum gallicum et Gastridium ventricosum sur les
Chaumes de Sèchebec, Quercus toza,
Carex distans et Simetis planifolia dans les Landes
de Cadeuil, enfin Angelica
heterocarpa et Oenanthe
foucaudi à Tonnay-Charente.
Dans la Forêt de Marly le
29 juin, Joëlle Bache et Alexis Bonnel n’ont pas manqué de nous montrer
Hypericum androsaemum et Hottonia palustris. Le 6 juillet
dans le Marais du Lutin, Sabine Beutin et Denise Geliot relevèrent Thalictrum flavum, Potamogeton lucens et Hydrocharis morsus-ranae. Le 27
juillet en Forêt de Senart, Mila Tanaskovic et René Le Ruyet nous ont
fait revoir la belle station d’Erica
scoparia ainsi que Genista
anglica et Exaculum pusillum.
Dans cette même Forêt, le 28 septembre, nous avons vérifié la présence
d’Eriophorum vaginatum et Juncus tenageia.
Les parcours innovants sur des communes classiques ont été l’objet de
belles découvertes de plantes herbacées considérées comme rares ou
disparues dans notre région ; Ainsi près d’un affleurement de Poudingue de Saclas à
Boigneville, où nous avait conduit Denise Géliot, a-t-on pu découvrir Clinopodium nepeta subsp ascendens le
16 novembre et dans le domaine de Marly le 9 novembre, Trifolium ochroleucum perdu de vue
dans l’ouest parisien depuis plus de 50 ans.
La dendrologie permet
d’être en contact avec des familles ou des genres exotiques. Pour ce
faire trois sites ont été visités, le Jardin des Plantes le 12 janvier
sous la direction de Loïc Benard, le Parc Botanique de Launay le 23
février avec M. et Mme Pedotti, et l’Arboretum du Breuil sous la
conduite de MM. Souesme et Douault le 5 octobre.
Les activités centrées sur la zoologie se sont beaucoup développées
cette année. Je débuterais logiquement ce chapitre, si vous le voulez
bien, par la faune aquatique avant d’aborder celle du milieu terrestre.
Le 26 janvier M. Rabet nous a entretenu de la biologie des Crustacés Branchiopodes, dans un
exposé détaillé et captivant, agrémenté d’une présentation de
Chirocéphales vivants. Deux visites ont été conduites par M. Meunier.
La première, le 15 février à l’Aquarium Tropical de la Porte Dorée,
concernait la biodiversité marine de l’Ile de la Réunion. La seconde le
6 décembre, à la Maison de la Pêche et de la Nature, avait trait aux
poissons d’eau douce de France. Ces deux visites ont été largement
suivies et les exposés assortis de commentaires instructifs de la part
de notre savant ami. Ajoutons que la réussite de l’excursion du 25 mai
en Forêt de Sénart sous sa direction et celle de Guillaume Douault, a
validé le sentiment de nos collègues, d’avoir à faire à un maître
écouté.
Ceci nous amène naturellement aux excursions plus spécifiquement
entomologiques, quatre ont été conduites cette année par Guillaume
Douault, qui n’a pas manqué de souligner le lien existant entre
l’animal et son environnement botanique. Notons également
l’intéressante journée du 13 juillet à Méréville animée par Mme
Beaudouin. Lors de la séance de communication le 18 janvier sur les
Lépidoptères du Parc des Beaumonts à Montreuil, M. Lantz a souligné la
diversité de cette faune malgré l’importance de l’urbanisation
alentour. Au cours de notre Assemblée Générale, M. Cambefort a mis en
lumière les activités de collecte liées à l’entomologie et le dynamisme
qui en découle, ce à travers l’Histoire, les Arts, la Littérature et
les personnages célèbres qui ont été séduits par cette science et qui
fut parfois la source de leur inspiration.
Aux Etangs d’Ollainville le 30 mars Sabine Beutin et Yann Rohrhurst,
avec un public matinal et attentif, nous ont fait observer divers
oiseaux parmi lesquels le Tarier
pâtre, et nous avons entendu la Bouscarle de Cetti.
L’apparition de l’homme au Pliocène est attestée par les traces de ses
industries humaines qui ont marqué le paysage archéologique. Ainsi le
16 novembre à Boigneville, sous la houlette de Mmes Perdereau et Geliot
avons-nous pu admirer un magnifique polissoir en place. Ces
impressionnants outils de l’Holocène s’observent occasionnellement en
Région Parisienne, et témoignent de la Civilisation Néolithique
Seine-Oise-Marne.
Plus proche de nous, l’histoire est omniprésente dans nos
excursions. Nous y avons consacré plusieurs journées, et ce d’une façon
particulièrement détaillée. Le 20 avril à Meaux, en compagnie d’Anne
Rigade et Jean Paul Chabrier, nous avons visité le Musée Bossuet, et ce
fut l’occasion d’évoquer la mémoire et l’œuvre du « plus grand orateur
sacré des temps modernes »selon Pierre Larousse. M. Chabrier, le 7
septembre, avec Joël Pasco, sur la Butte de Penchard, n’a pas manqué de
retracer minutieusement l’histoire des combats qui se sont déroulés il
y a cent ans, presque jour pour jour, dans ce secteur de la Marne, lors
de la Grande Guerre. A Méréville le 13 juillet, avec la collaboration
de Mme Beaudouin, M. Audubert nous brossa l’histoire de la ville, du
château, du parc et de ses fabriques. C’est avec le sentiment de ne pas
avoir reçu tout l’héritage culturel que l’Histoire était censée nous
transmettre, que nous avons parcouru, en compagnie de M. et Mme
Pedotti, le Parc de Marly le 9 novembre. Et les remarquables paysages
de ce site grandiose, ne pourront probablement jamais rendre toute la
majesté à ces lieux, tant il est difficile, compte tenu des
constructions et oeuvres d’art disparues, de se représenter ce que fut
son rayonnement. Avec Joëlle Bache et Antoine Monaque, nous avons
terminé nos activités de l’année le 14 décembre, au gré d’un parcours
évoquant des activités parisiennes dont la plupart aujourd’hui
n’existent plus. Aménagement d’anciennes carrières de gypse qui donnent
un relief exceptionnel au Parc des Buttes-Chaumont, aménagement urbain
dans le style Art Déco du Stade Bergeyre à l’origine voué aux loisirs,
aménagement portuaire du Bassin de la Villette amputé de ses activités
industrielles autrefois prospères, tels furent les captivants centres
d’intérêt de ce remarquable trajet. L’histoire c’est aussi celle des
techniques. A Bourdonné le 11 mai notre ami Pierre Bonin a évoqué la
métamorphose de son village durant le siècle passé, soulignant ainsi
l’importance de l’artisanat perdu sans doute à tout jamais.
Avant
de terminer cet exposé je tiens à remercier notre Président honoraire
M. Dupuis, notre Présidente Mme Pedotti, MM. Meunier, Konrat, Bonin,
Boivin, Bultel, Bonnel, Mlle Chesnoy, Mme Perdereau, Mme Ray, ainsi que
tous ceux qui prennent part au bon fonctionnement de l’association.
Pour
conclure, je soulignerai, une fois n’est pas coutume, combien le beau
est une notion qui est loin d’être absente de la dimension scientifique
de l’Histoire Naturelle. Lors de la visite du Musée des Pays de
Seine-et-Marne à St Cyr-sur-Morin le 12 octobre, avec Françoise Le
Berre et René Le Ruyet, nous avons saisi la mutation qui s’est opérée
dans les habitudes de vie depuis le 19ème Siècle. L’outillage et le
cheminement des techniques qui nous ont été présentés ce jour-là, nous
ont fait prendre conscience de la vertigineuse accélération des temps
modernes. Cependant, le splendide Métier Jacquard du 18ème Siècle, dont
le fonctionnement nous a aimablement été démontré, de par sa complexité
et surtout sa beauté, est un repère qui s’enracine dans l’alliance du
savoir faire et de l’Art. De même la conférence de notre ami François
Meunier le 9 février sur les Plantes et les Animaux des Grandes Heures
d’Anne de Bretagne. Iconographie, enluminures, calligraphie sont venus
éclairer l’histoire et la Science tout au long de ce bel exposé. Mais
l’art s’exprime aussi d’une manière suggestive au gré des itinéraires,
comme par exemple le 1er juin, quand au détour du village de
Gommécourt, un immense champ de coquelicots digne du talent de Claude
Monet, ouvrait le paysage sur les coteaux de l’Epte et Giverny. Il est
ainsi des instants irremplaçables qui font resurgir de notre être le
sentiment profond de la noblesse de la Nature. C’est l’une des raisons
de vous inviter à suivre assidûment la richesse sans égal de toutes nos
activités.
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