LES NATURALISTES PARISIENS

45 Rue de Buffon
75005 PARIS

Adresse : http://www.chez.com/naturalistes


Assemblée générale du 4 MARS 2018
Rapport du Secrétaire général Pierre FESOLOWICZ

Chers amis et collègues ,

          L’année qui vient de se terminer nous a permis de réaliser 42 excursions, dont un voyage de 4 jours, 2 visites, d’écouter 3 conférences et de participer à une séance de présentation libre. Ce qui représente finalement 51 journées d’activités.

    Un rééquilibrage géographique notoire de nos excursions s’est opéré cette année, nous rappelant avec justesse, qu’en dehors du secteur méridional, tout le reste du Bassin de Paris mérite notre attention, dans tous les domaines de l’Histoire Naturelle, tant sa richesse est imposante et multiple. Nous constatons également que nos activités s’y sont diversifiées, et que certaines disciplines, comme en particulier la géologie et la mycologie, tendent à trouver leur juste place à côté de la botanique, même si cette dernière reste traditionnellement le support substantiel de nos investigations.

     Cependant pour des raisons pratiques de présentation, je vous exposerai l’exercice de l’année 2017 selon les différentes catégories de disciplines auxquelles nous avons l’habitude de nous référer. Commençons par la botanique, la plupart du temps source d’intérêt et d’observations aisés, quel que soit l’environnement.

     Le 19 mars dans la Forêt de Coye, Guillaume Douault nous a montré un bel ensemble floristique comprenant Cardamine impatiens, Carex depauperata, C. digitata et Ornithogalum umbellatum, complété par de nombreuses observations zoologiques.

    Le début du printemps ne fut pas favorable aux poussées de champignons, mais la botanique y suppléa pleinement. Ainsi le 9 avril avec Jean-Paul Chabrier dans la Forêt de Fontainebleau, après avoir parcouru une très belle station de Milium effusum, nous avons observé Senecio sylvaticus, Ulex nanus, Hottonia palustris et Polystichum x bicknelli.

     Le 16 avril dans la Forêt de St-Germain, sous la houlette d’Alain Lauron, Carex praecox, Leonurus cardiaca, Draba muralis et Doronicum plantagineum ont été notés.

     La journée du 7 mai autour de Luzarches, organisée par Antoine Monaque, Yvan Bultel et Joëlle Bache, nous a permis d’examiner la forêt fleurie. Sur notre parcours nous avons rencontré Digitalis lutea, Carex digitata, Valeriana wallrothii, Anemone ranunculoides, puis après avoir traversé un blanc tapis forestier d’Allium ursinum, dans un milieu champêtre humide, la rare Valeriana dioica termina cette remarquable excursion.

    La belle saison encourage la réalisation de brillantes excursions. Ainsi le 14 mai Jean-luc Tasset nous a conduits sur la célèbre platière gréseuse de Meun, où nous avons admiré nombres d’espèces rares telles que Scleranthus perennis, Crassula vaillantii, Illecebrum verticillatum, Trifolium ornithopodioides, Sedum villosum, Ranunculus nodiflorus, Spergula segetalis et Ophioglossum vulgatum, tandis qu’en contrebas nous avons observé la mythique station de Cystopteris fragilis. Le 21 mai sur les coteaux crayeux de La Roche-Guyon, notre ami et Cyril Epicoco se sont attachés à nous montrer la flore emblématique de ce secteur. Ont été notés en particulier Helianthemum canum, Astragalus monspessulanus, Festuca lemanii, Galatella linosyris et Melica ciliata. Le 18 juin sur les formations sannoisiennes de la forêt de Sénart, toujours en compagnie de notre infatigable ami, nous avons pu revoir un bel ensemble floristique, dont il est bon d’observer régulièrement le maintien, que chacun souhaite durable. Pilularia globulifera, Menyanthes trifoliata, Eriophorum angustifolium et surtout E. vaginatum en situation précaire, menacée par le reboisement spontané, en sont les principaux éléments. Nous lui devons également l’excursion dans la Vallée de l’Essonne le 3 septembre où nous avons vu Thelypteris palustris, Hydrocotyle ranunculoides, Thalictrum flavum et Samolus valerandi.

     Les sables de Fontainebleau de la Malmontagne sont dominés par le Calcaire d’Etampes. Le 11 juin M. et Mme Pedotti nous ont conduits dans ce site remarquable, à travers la chênaie pubescente et ses abords. Cervaria rivini, Cistus umbellatus, Genista sagittalis, Trifolium rubens, Sesleria coerulea, Inula hirta et Scorzonera austriaca ont été notés immanquablement.

     Bien d’autres excursions sont venues compléter cette pleine saison botanique, comme par exemple le 26 juillet dans la Vallée du Clignon, sous la direction de René Le Ruyet et Joëlle Bache, où nous avons observé: Hydrocharis morsus-ranae, Aconitum napellus subsp. lusitanicum et Centaurea calcitrapa. De même dans la Forêt d’Armainvilliers le 15 octobre avec Jean-Pierre Boivin nous avons examiné Carex strigosa, Carex rostrata, Blechnum spicant et Oenathe aquatica.

     Cependant il n’est pas indispensable de montrer un cortège de raretés pour trouver de plaisants attraits à nos excursions. Les saisons changeantes, les paysages que déterminent les formations géologiques et végétales, sont autant d’éléments sur lesquels s’élaborent de fructueux moments de communications scientifiques et culturels. Comme par exemple à Longueville, aux confins de la Brie le 28 mai, où Samia Larous et Laurence Tulane nous ont conduits dans une agréable campagne, sur un plateau briard finissant, ainsi qu’à travers le relief contrasté de la falaise de l’Ile-de-France.

     La dendrologie complète naturellement l’étude des autres strates végétales. Plusieurs journées y ont été consacrées, telles que le 12 février à Fontaine-le-Port avec André Souesme, dans un parcours bien choisi et sérieusement documenté ; Ainsi que le 23 avril dans le Parc de Launay à travers une importante collection de végétaux, occasionnant des commentaires instruits de la part de Christian Bock sur la systématique et la physiologie des végétaux. Ajoutons la visite de l’arboretum du Val des Dames le 13 août à Armainvilliers avec Joëlle Bache et René Le Ruyet. Egalement l’observation de magnifiques Platanus x pyramidalis le 26 février à Epinay-sur-Orge en compagnie de Samia Larous et Hélène Izembart, journée où nous avons également noté des espèces herbacées comme Dipsacus pilosus ou Rapistrum rugosum.

     En ce qui concerne la géologie, l’année passée fut particulièrement riche d’enseignement. Nous le devons d’abord à Jean-Paul Sagon qui nous a consacré 8 journées d’activités. A commencer par la visite de la Galerie de Minéralogie de Jussieu le 21 janvier, afin que nous puissions mettre mieux à profit l’étude des terrains et plus particulièrement des minéraux qui les structurent. Le Lutétien est omniprésent dans la moitié septentrionale du Bassin de Paris. Nous l’avons rencontré presque immanquablement au cours des excursions élaborées par notre ami, avec la collaboration d’Anne Rigade, dans le tertiaire parisien.

    Comme par exemple à Herblay où le méandre de la Seine offre dans sa concavité une belle coupe de l’Eocène moyen et supérieur. Le 9 juillet, nous l’avons donc observé à la Carrière du Roy, dans un faciès sublithographique à cérithidés, autrefois exploité à ciel ouvert et en galeries souterraines

      A Crégy-lès-Meaux le Calcaire de St-Ouen structure naturellement ce secteur, mais ce sont les marnes infra-gypseuse et le gypse sus-jacents qui ont produit le travertin quaternaire de Crégy, pétri de végétaux, « un petit modèle d’architecture rustisque » selon Jean-Etienne Guettard. Cette roche très dure fit obstacle à la réalisation du canal de l’Ourcq au XVIIème s, initialement conçu par Pierre-Paul-Riquet et Jacques de Manse, comme nous l’a si bien exposé Mme Rigade le 6 août, dans un commentaire illustrant à merveille le lien naturel existant entre la géologie et l’Histoire.

    A Boissy-l’Aillerie dans la Vallée de la Viosne le 8 octobre nous avons examiné le Lutetien dans toute sa puissance, de l’inférieur glauconieux aux divers faciès du calcaire grossier jusqu’aux Marnes et Caillasses du Lutetien supérieur, sans omettre ses encaisssants : le Cuisien micacé et l’Auversien fossilifère.

     Et pour finir cette apologie du Lutetien, je soulignerai que c’est à Fleury-la-Rivière le 12 novembre, que nous avons admirablement terminé nos investigations de l’année concernant cette formation géologique particulièrement remarquable, avec la visite de l’éblouissante et unique galerie à Campanile giganteum de la Cave aux Coquillages, ces « grandes limaces » du Falun de Damery comme les appelait Bernard Palissy au XVIème s, emblématiques de cet étage universel.

     Notons l’indispensable participation botanique de René Le Ruyet qui fut de tous les instants.

    Notre voyage annuel de la Pentecôte avait pour objectif l’étude de la Montagne Noire dans sa partie méridionale et orientale. Organisé par Jean-Paul Sagon, Jean-Luc tasset, Anne Rigade, Simone Perdereau et moi-même, il nous a donné un aperçu complet de ce qu’il nous fallait voir dans cette région. Nous retiendrons la Carrière du Roy, lieu d’extraction des marbres roses du Devonien moyen à Caunes-Minervois, dans laquelle nous avons noté la rare ombellifère Prangos trifida ; Le Carbonifère de Graissessac dans lequel nous avons récolté de belles figures de Calamites ; Le pittoresque parcours dans les tunnels creusés par la Cesse dans le calcaire à Alvéolines et Amphistégines de l’Yprésien, au pied du ravissant village de Minerve ; Les pélites permiennes des Ruffes du Salagou avec ses coulées basaltiques quaternaires et ses empreintes de Thérapsidés de La Lieude ; La carrière de Pézènes-les-Mines, un des plus beaux gisements de bauxite du monde près de Bédarieux ; Le Cirque de Mourèze creusé dans les dolomies du Jurassique moyen ; Les Gorges d’Heric entaillées dans les Gneiss oeillés de la zone axiale de la Montagne Noire, dans lesquelles nous avons noté les fougères Amnogramma leptophylla et Asplenium foreziense ; Enfin l’oppidum d’Ensérune dominant l’étang de Montady et le Canal du Midi construit par Pierre-Paul Riquet au XVIIème s.

     Le pôle siliceux nous attire constamment vers le sud du Bassin de Paris, plus particulièrement à Fontainebleau. Au cours de la journée du 5 novembre à Buthiers, Médard Thiry a bien montré l’importance de la circulation de l’eau, le ruissellement, l’action de la température, de l’évaporation dans l’altération des grès en général, et plus spécifiquement dans la formation des réseaux polygonaux, à l’origine des formes dites en « peau d’éléphant », ainsi que l’importance des sursilicifications dans l’élaboration des croûtes sommitales en surplomb. Il en résulte des figures auxquelles s’attache l’imagerie populaire, dont notre brillant ami a parfaitement étudié les mécanismes physico-chimiques. Elles font partie d’un ensemble d’observations et d’analyses susceptibles d’être probablement appliquées plus généralement aux grésifications du Bassin de Paris.

        La féconde saison mycologique s’est essentiellement déployée durant l’automne. Sous la direction d’Alain Lauron le 19 septembre dans la Forêt de Coye, nous avons récolté Collybia brassicolens, Echinoderma asperum, Geastrum triplex, Pseudoboletus parasiticus, et le 26 novembre dans le Parc du Sausset à Villepinte: Amylostereum chailletii, Hygrophorus hypothejus, Lactarius vietus, Melanoleuca subpulverulenta, Pezicula carpinea et Lepista saeva pour ne citer qu’eux. Notons également l’observation de Carduus ancanthoides ce jour-là. Dans le Bois des Joies le 1er octobre, avec Jean-Paul Chabrier et Olivier Declarens de belles récoltes ont été faites, comprenant entre autres : Cortinarius praestans, Craterellus melanoxeros, Lepiota josserandii et Leucocortinarius bulbiger.

     Ajoutons aussi l’observation de Craterellus melanoxeros et d’Asterophora lycoperdoïdes, un curieux basidiomycète la « Nyctale porteuse d’étoiles », dans la forêt d’Armainvilliers le 15 octobre.

     Les deux excursions bryologiques de la Forêt de Fontainebleau ont été mises à profit pour, d’une part mettre à jour et compléter nos relevés, et d’autre part étudier un secteur jusqu’à présent négligé. Le 12 mars, à la Mare Aux Evées très engorgée, Michel Arluison et moi vous avons montré Platygyrium repens, Microlejeunea ulicina, Dicranum majus, Neckera pumila et Nowellia curvifolia. Le 3 décembre au Rocher Brûlé, dans un petit vallon de pente nord, abritant Odotonschisma denudatum, Jean Giraud découvrit une belle station d’Anastrophyllum hellerianum. Orthotrichum stramineum, Ulota hutchinsiae et Plagothecium laetum ont été notés ce jour-là. Le 3 juin, dans les gorges d’Héric de la Montagne Noire, un beau cortège bryologique composé de Fossombronia angulosa, Reboulia hemispherica, Targionia hypophylla et Gongylanthus ericetorum a été recensé.

     Cette année deux excursions lichénologiques ont été réalisées dans la Forêt de Fontainebleau, le 26 mars et 19 novembre. Nombre d’espèces intéressantes ont été inventoriées par Françoise Guilloux et Gabriel Carlier, en particulier : Aspicilia viridescens, Opegrapha niveoatra, Pachyphiale carneola, Pertusaria aspergilla, Porpidia tuberculosa, Rinodina aspersa ainsi que Normandina pulchella.

     D’abondantes observations zoologiques ont été faites cette année, en particulier au cours des excursions entomologiques organisées par Guillaume Douault, qui étend ses démonstrations aux autres groupes zoologiques. Comme par exemple en Forêt de Coye le 19 mars, Dans la Forêt de Senart le 2 juillet, où il montra de nombreuses araignées des lisières, et au Bois de Vincennes le 10 septembre. Le 4 juin au barrage de Salagou, la découverte de la spectaculaire Saga pedo, le plus grand orthoptère de notre faune, protégé en France, suscita une observation particulièrement attentive et détaillée de la part des participants à cette grande excursion.

     La journée du 2 avril, organisée par Sabine Beutin et Jean-Paul Chabrier à ST-Sulpice-de-Favières, fut l’occasion de rappeler l’importance du domaine de Segrez tant par la faune et la flore qu’il présente, que par l’histoire de la dynastie des Lavallée : le fondateur des Arts & Métiers, puis le créateur de la collection dendrologique, enfin l’entomologiste Alphonse III. Les oiseaux, les insectes et les arbres ont été sérieusement étudiés et relevés.

     Ces observations zoologiques ont été complétées le 9 décembre par l’enrichissante visite de l’Aquarium de la Porte d’Orée aménagée par François Meunier qui termina l’année naturaliste.

     L’Histoire est presque toujours présente dans nos excursions, elle explique souvent ce qu’on observe aujourd’hui, même en Histoire Naturelle. C’est ce qu’a très bien su saisir Alain De Guerra le 27 août, lorsqu’il nous a présenté la Forêt de Fontainebleau sous l’angle des légendes et des anecdotes locales, qui sont à l’interface de l’Histoire et de la nature. Ce lien, nous l’avons retrouvé le 22 octobre à l’initiative de Pierre Bonin et d’Antoine Monaque, pour évoquer à Montmorency Jean- Jacques Rousseau, le grand philosophe botaniste, qui au cours de ses herborisations avait dû voir déjà respectables, les Châtaigniers aujourd’hui majestueusement vieillissants, et plus près de nous, Emile Boudier, un des fondateurs de la Société Mycologique de France, ou encore l’âge d’or de l’arboriculture fruitière. C’est aussi sous la direction de Pierre Bonin le 30 avril, autour de l’hydraulique du château de Chantilly et du pavillon de Manse, qu’il nous montra les modifications profondes appliquées depuis les Condé au régime des eaux de la Thève. Le 30 juillet Denise Géliot et François Audubert nous ont conduits à travers le Parc du Château de Jeurre à Morigny, en ces lieux chargés d’histoire ce fut l’occasion de retrouver à proximité le falun de Jeurre, un des stratotypes du Stampien.

     Les excursions parisiennes présentent une densité inégalée de sujets d’intérêts. Le 18 février Marie-Odile Perret nous a guidés dans les 1er et 4ème arrondissements de Paris, dans un captivant parcours. De même Sylvie Beaudouin le 16 juillet nous a présenté de nombreux cadrans solaires à travers un passionnant itinéraire parisien.

     Le 29 janvier, Jean- Paul Sagon, sollicité en dernière minute, nous a présenté la géologie complexe du Sud du Maroc, nous montrant les vestiges des orogenèses successives, qui sont reconnues dans le Haut- Atlas et l’Anti-Atlas. Avec sa longue expérience de spécialiste de la géologie appliquée, il nous a exposé l’origine de la diversité des substances minérales (exploitables ou non) de ces régions. Etant avant tout un homme de terrain, il a su nous montrer également de façon savante la végétation spontanée et les cultures conduites dans ces lieux, contraintes par les réalités climatiques.

     Le 5 mars, Marc André Sélosse nous a entretenus de la mycohétérotrophie, apportant un éclairage nouveau sur les relations vitales existant entre les plantes et les champignons. Longtemps considérées comme restreintes au parasitisme ou à la symbiose mycorhizienne entre 2 partenaires, ces relations s’avèrent beaucoup plus étendues, et en particulier, lèvent le voile sur les phénomènes d’albinisme. Ces échanges en tous sens apparaissent comme essentiels pour saisir l’équilibre de la nature.

     Les nouvelles connaissances concernant le poumon du Coelacanthe ont été exposées par François Meunier le 15 janvier. Nous avons été particulièrement sensibles à ce que notre vice-président nous les eut réservées en avant-première, avant publication, lors de sa conférence qui marqua l’ouverture de l’année naturaliste. Ces recherches ont identifié l’évolution des poumons, sans doute fonctionnels des Coelacanthes fossiles, peut-être amphibies, vers ceux complètement atrophiés, mal identifiés jusque- là, des Coelacanthes actuels, rencontrés dans les eaux profondes de l’océan Indien. Ces travaux nous montrent d’une part une corrélation fonctionnelle entre structure et lieu de vie, d’autre part une méthode à suivre pour démêler l’écheveau des homologies.

     Je ne voudrais pas terminer l’évocation de nos activités hivernales sans parler de la séance de présentation d’objets : il faut remercier tous les collègues qui ont, par l’apport d’objets remarquables, concouru à l’enrichissement factuel et méthodologique de tous.

     Pour conclure je soulignerai la complémentarité de toutes nos diverses activités, tant en salle que sur le terrain pour alimenter notre désir d’approcher les mécanismes qui régissent notre environnement naturel. Elles aboutissent à une nécessaire réflexion scientifique, toujours source de progrès et de savoir. C’est bien ce à quoi s’attache depuis toujours, sans relâche chaque semaine au fil des ans, notre association, par l’action de tous ceux qui en sont les méritants protagonistes.

     Avant de laisser la parole à notre trésorier, je tiens à remercier notre Président honoraire M. Dupuis, notre Présidente Mme Pedotti, MM. Meunier, Konrat, Bonin, Boivin, Bultel, Mlle Chesnoy, Mmes Perdereau et Ray, ainsi que tous ceux qui prennent part au bon fonctionnement de l’association.

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